AnnaïsyaA l’approche de ses sept ans, l’éducation d’Annaïsya commence. L’essentiel de son programme consiste à apprendre les sciences naturelles, l’histoire, les langues des peuples de Kalimdor. Elle suit des cours de magie et de politique. Quand les cours sont terminés, Annaïsya n’a plus que le temps de faire du tigre (cheval). L’éducation fait d’Annaïsya une jeune fille instruite, brillante, en avance sur la plupart de ses amis. Elle n'a pas l'habitude de prendre l'initiative de parler pour dégrader un autre. Elle ne parle que lorsqu'elle le croit nécessaire. Malgré le fait qu'elle ne soit pas très bavarde. Elle montre rarement un signe de soumission. Confiante envers ses capacités, elle va de part le monde sans jamais s'arrêter.
Au fil de sa jeunesse, d’autres évènements, d’autres rencontres fortifient Annaïsya. Vers 9 420 avants le Règne des Dranei, Annaïsya accompagne sa famille à Zin-Azshari pour observée le mal terrible qui étai entré en ce pays. Une profonde amitié naît entre Cenarius et Annaïsya, qui n’en est que mieux à même de constater les efforts pour l’apprentissage de la culture druidique. Cheveux et yeux de couleurs argentés, les traits doux et efféminés, elle fut remarquée par les dirigeants pour reconstruire une Kalimdor ravagée par les maléfices de la légion.
{Je commence à être en manque d’inspiration je pense finir plus tard, et oui je ne suis pas dieu }Le riche parfum des roses emplissait la pièce ; et, par moments, lorsque la brise agitait d’un léger frémissement les arbres du jardin, une lourde bouffée de pacifiques entraient par la porte ouverte. De l’extrémité du divan aux coussins de soie sur lesquels elle était allongée, Annaïsya pouvait contempler la rayonnante splendeur d’une doulourante dont les grappes avaient la couleur et le parfum d’une violette, et dont les branches frissonnantes semblaient ployer sous le fardeau de leur beauté. En cette aube, Sombrevallon s’éveille au premier rayon du soleil de printemps.
La rencontreDes porteurs assaillaient les navires au repos et bâtissaient sur leurs chariots des forteresses de bagages. Le flot des voyageurs poussait Annaïsya vers la sortie du port. Engluée dans la masse des visages, assourdie, Elle avançait d’une démarche courte et saccadée. Elle n’avait pas mangé depuis Darnassus pour économiser son argent. Des crampes douloureuses lui serraient l’estomac. Son regard suscitait partout des moucherons aux ailes scintillantes. Machinalement, elle fit plusieurs pas encore, déboucha à l’air libre et s’immobilisa, éblouie. Arrosée de soleil cru, l’esplanade du port de Menethil Harbor grouillait de monde. Des avenues plantées d’arbres s’en allaient vers le centre du petit village. Un sentiment de légèreté, d’alacrité, lui traversa l’esprit. Les gens qui la bousculaient se hâtaient vers des rendez-vous d’amour ou toute sortes d’habitudes ou de surprises. Leurs figures étaient saines. Leurs habits corrects inspiraient le respect. Rien qu’à les voir, Annaïsya mesurait son extrême déchéance. Elle lui sembla que des passants se retournaient et considéraient son accoutrement avec un sourire. Elle portait qu’une belle robe d’apprenti fait de plantes. Elle tenait à la main un bâton pesant, dont les contours s’étaient usés pendant le voyage. Elle fourra les doigts dans sa poche pour vérifier la présence de son porte-monnaie. Toute sa fortune était contenue dans cette bourse en cuir : trois pièces d’argent.
Annaïsya s’enfonça dans une petite ruelle, bordée de magasins aux étalages de viande et de légumes. Des vendeurs explosaient subitement en clameurs victorieuses. Les étiquettes des prix chaviraient au sommet des pyramides de viandes. Deux gardes emmenaient un nain qui poussait devant lui une charrette chargée de salades vertes. En ce mois, l’aisance de vivre était perceptible comme une qualité essentielle. Un afflux de salive gonfla les lèvres d’Annaïsya. Pris d’un vertige, elle voulut refuser de penser à la nourriture. Mais cette résolution était au-dessus de ses forces. L’odeur des omelettes à la bière lui revenait dans la bouche. Elle entendit le battant métallique frapper le coup des huit heures contre la coupe renversée de la Cloche de l'Hôtel de Ville, chaque habitant du village âgé entre seize et quarante cinq ans était réuni autour d’un petit groupe. Une elfe, une gnome, un humain et un nain prononçaient leur discours, afin d'être le plus convainquant possible. La Gnome se tenait devant le reste de la troupe, sinon elle ne pouvait voir ce qu'il se passait.
- Et vous... Que faîtes-vous? Pourquoi ne vous joignez-vous pas à nous et aux autres aventuriers qui partent pour cette quête épique ?
- Hum … oui, je serai l’une des vôtres si vous voulez bien de moi
(Voilà, suite à un petit MP à Bousi sur un changement de personnage, je dois poster apparament sa petite histoire ici donc bah voilà
Oui j'ai pas pu finir, 10 123 ans plutôt long ! Et je dois me soigner
les angines pas bon pour la santé
Je la post aujourd'hui au cas ou que demain le patch :DD )